Amy Fitzgerald, Ph.D., est professeur titulaire de criminologie au département de sociologie et de criminologie, et occupe également un poste hybride au Great Lakes Institute for Environmental Research, à l’Université de Windsor. Ses recherches portent sur l’intersection des préjudices (criminels et autres) perpétrés contre les personnes, les animaux non humains et l’environnement. Elle a publié plusieurs articles, chapitres et livres évalués par des pairs, et travaille actuellement sur trois projets financés par des subventions. Mme Fitzgerald est membre fondatrice du groupe de recherche sur les animaux et les abus interpersonnels de l’Université de Windsor, lauréate du Distinguished Scholarship Award de la section Animals and Society de l’American Sociological Association, du Mid-Career Outstanding Faculty Research Award de l’Université de Windsor, et a été chercheuse invitée du Animal Law and Policy Program de l’Université Harvard en 2020. Rochelle Stevenson, Ph.D., est professeure agrégée au département de l’environnement, de la culture et de la société de l’Université Thompson Rivers, coprésidente du groupe de recherche Animals in Society de l’ASC et membre du corps professoral du groupe de recherche Animal and Interpersonal Abuse Research Group (AIPARG). La relation homme-animal est au cœur des recherches de Rochelle. Ses recherches ont mis en évidence l’importance de ce lien dans une myriade d’espaces, et la plupart de ses travaux se situent à l’intersection de la violence interpersonnelle et de la violence contre les animaux. Ses recherches comprennent l’examen des possibilités offertes aux femmes qui veulent quitter une relation abusive mais ne veulent pas laisser leur animal de compagnie dans une situation de danger potentiel, des enquêtes nationales auprès des résidents des refuges pour victimes de violence domestique et du personnel des refuges sur la question de l’abus et de la maltraitance des animaux, et les perspectives des hommes qui ont commis des abus contre leur partenaire. Rochelle maintient un fondement intersectionnel et anti-oppression dans sa recherche et son activisme avec deux objectifs primordiaux : nommer, comprendre et arrêter la violence sous toutes ses formes, et défendre la justice sociale par l’inclusion des animaux dans la politique sociale.